Elaisa Energetic Wellness: complexe Wellness unique au monde

Tout le monde a entendu parler de ces vieux sages et de ces grands penseurs qui ont appris à décrypter la nature à partir de mystérieuses séries de chiffres et de l’harmonie basée sur des proportions mathématiques. Qu’il s’agisse de Platon, de Vinci, Fibonacci, Euclide, et beaucoup d’autres… Ils ont identifié cette Divina Proportia - proportions divine - dans le cœur d’un tournesol comme dans la spirale de la coquille d’escargot, pour l’appliquer à l’art, la musique, l’architecture, etc.

Le nombre d’or semble être un tonneau empli de mystère, car les temples et les pyramides de l’Égypte ancienne et d’autres civilisations oubliées en sont imprégnés. Ce qui, pour les uns, ne sera rien de plus qu’un phénomène inexpliqué, constitue pour les autres la base de laquelle découle toute notre civilisation. Jeanluc Kumpen, entrepreneur du Limbourg, appartient sans aucun doute à la seconde catégorie. La géométrie sacrée constitue le fil rouge dans chaque détail du Wellness Resort holistique Elaisa, qu’il a construit de ses mains pendant six ans, et qu’il considère comme son grand œuvre. Animé par une passion et une motivation qui dépassent de loin la réalisation d’un rêve de jeunesse.

Fusion

“ELAISA signifie Egypte, Lémurie, Atlantide, et Inner Source Activation. Il s’agit d’un complexe unique rassemblant sauna et wellness, en pleine nature au cœur du Limbourg, où l’on vient se recharger et se ressourcer, et dans lequel la santé et la pleine conscience occupent une place centrale”, précise l’architecte de ce projet, Jeanluc Kumpen.

“J’avais déjà cette idée en moi depuis une vingtaine d’années, mais sa forme définitive est née peu à peu. La construction s’inspire de l’architecture des temples mayas et du temple de Hatchepsout en Égypte. Il s’agissait du premier temple ‘féminin’. Faites le test en superposant les photos des deux temples, vous verrez que vous arrivez à ce qui est aujourd’hui Elaisa.”

Hallucinant

On peut qualifier ce complexe d’hallucinant à plus d’un titre. Outre le choix de matériaux presque exclusivement naturels, comme le granit pour l’enveloppe extérieure, 500 tonnes d’ardoises brisées en provenance des carrières de nos Ardennes, utilisées pour divers murs extérieurs et saunas de plein air, une grande quantité d’autres carrelages de murs et de sol, des parements en pierre naturelle, du bois et de la mosaïque de bois, le complexe renferme aussi quelque 20 tonnes de pierres semi-précieuses.

Des boules gigantesques de quartz rose et de labradorite, des cristaux de roche en pointe et des géodes d’améthyste ornent les dizaines de saunas, de piscines, d’espaces destinés aux soins et thérapies. Ils ont été intégrés dans et autour du bâtiment, de manière visible ou invisible, et contribuent, tout comme la Géométrie Sacrée qui a inspiré la conception de chaque détail d’Elaisa, à la paix et à l’harmonie qu’exhale ce lieu de sérénité.

Le complexe s’étend sur une superficie de 7 500 m² et constitue le lieu principal sur les 20 000 m² du site, en lisière du parc national de Haute Campine. L’eau du lac voisin, né d’une ancienne exploitation de gravier, est utilisée pour rafraîchir le bâtiment. Au lieu de traverser simplement un filtre à sable, l’eau usée est purifiée par un mélange à base de sable et, tenez-vous bien, de cristaux !

De plus, Elaisa est le seul sauna public du Benelux utilisant du peroxyde d’hydrogène pour désinfecter ses bains, et non du chlore. À cela, Jeanluc Kumpen a une raison à laquelle vous n’auriez probablement pas pensé.

“Le professeur japonais Emoto a découvert que les cristaux d’eau prennent une forme particulière selon la qualité de l’énergie à laquelle ils sont exposés. Des pensées pleines d’amour ou une musique harmonieuse forment de superbes structures cristallines, qui contrastent fortement avec les formes chaotiques et fragmentées des cristaux d’eau que l’on obtient au contact de la haine, de la colère, ou d’une musique disharmonieuse. Emoto a effectué un travail de pionnier montrant que l’eau est un organisme vivant qui dispose d’une mémoire particulière. Pourquoi devrions-nous réduire à néant le pouvoir nourrissant de l’eau en y ajoutant du chlore ?

Le peroxyde d’hydrogène stabilisé que nous utilisons à Elaisa se décompose en hydrogène et oxygène. L’eau devient ainsi particulièrement douce pour la peau, et le produit est inodore. En outre, il semble idéal pour détruire virus et bactéries. Nous sommes pionniers dans ce domaine, et nous menons ce projet unique sous le contrôle de la Santé Publique, qui l’accompagne de très près.”

Le granit révèle ses secrets

L’ensemble du complexe est habillé de plaques de granit gris-blanc qui lui confèrent à la fois un éclat lumineux et un aspect bien terrestre. De même que chaque choix de matériaux pour Elaisa a été soumis à des considérations pratiques et mystiques, la finition en granit révèle une signification plus profonde. “Elaisa ramène à notre époque des savoirs anciens oubliés. On y trouve un melting-pot d’influences provenant des cultures maya et inca, de l’hindouisme, du bouddhisme, de l’Égypte ancienne, de l’Atlantide, etc. Vous y reconnaîtrez des images, des symboles et des dessins de toutes les croyances et religions qu’a connues l’humanité. J’ai ainsi tenté de faire passer le message qu’il n’y a pas de différence. Nous sommes tous un, alors respectons chacun l’opinion des autres”, explique le concepteur du projet.

“Je vis sur cette conviction : ce qui est en haut est comme ce qui est en bas, l’intérieur est comme l’extérieur. Je vois notre monde comme un micro-reflet du macro-monde du cosmos. Les Égyptiens de l’Antiquité construisaient eux aussi leurs pyramides selon cette vision. L’enveloppe extérieure en était revêtue de granit, et le sommet d’or. Ils ont choisi le granit parce que celui-ci contient beaucoup de silicium, qui est une sorte de cristal. Les cristaux sont de très bons conducteurs énergétiques. Les pyramides dirigeaient de ce fait l’énergie vers le haut, vers le cosmos. Mais, indépendamment de la signification ésotérique, le granit est, on le sait, un matériau extrêmement durable, incroyablement robuste, qui résiste à l’usure du temps et nécessite peu d’entretien.”

C’est bien ce que nous confirme Stefan Maris, qui dirige l’entreprise de pierre naturelle qui a fourni et posé les 5 000 m² de panneaux de granit pour l’enveloppe extérieure.

“C’est un granit de Chine, en provenance d’une nouvelle carrière très particulière que nous ne connaissions pas bien à l’époque. Il se caractérise par cet éclat d’argent qui offre une lumière très spéciale au soleil, conférant ainsi un aspect particulier à l’imposant bâtiment. Du point de vue du rapport qualité-prix, c’est aussi un très bon choix. Le granit est une pierre qui ne se délite pratiquement pas, c’est pour cela que nous pouvons encore admirer aujourd’hui les constructions les plus anciennes connues réalisées avec ces pierres. Avantage supplémentaire du granit, c’est une pierre qui accumule la chaleur : elle l’emmagasine très bien et la restitue lentement. Du point de vue climatologique, le granit est donc un très bon choix pour le revêtement de façade.”

Etanchéité et solutions techniques

A l’exception des constructions en béton, du revêtement de l’enveloppe extérieure et de la mise en place des baies vitrées, Jeanluc a constitué, en collaboration avec ses deux fils et son beau-père, Hub Fransen, une équipe d’exécutants qui se sont chargés des 70% restants des travaux. Sous l’œil omniprésent et expert de Hub Fransen, chaque détail a été exécuté avec la plus grande précision. De l’étanchéité au carrelage des saunas, en passant par les piscines intérieures et extérieures, jusqu’aux cabines à infrarouges et aux bains de vapeur, aucun défi n’a souffert de la moindre négligence. Imaginer et construire soi-même un tel complexe a nécessité du temps, six ans avant qu’Elaisa Wellness ne puisse ouvrir ses portes.

“Je dois honnêtement reconnaître que je n’aurais jamais pu y arriver sans les connaissances techniques et la longue expérience de mon beau-père. Pour des techniques spécifiques telles que le carrelage, le collage et l’étanchéité dans les locaux humides, j’ai demandé le conseil de spécialistes tels que PCI (voyez l’encadré Master Builders PCI). Cet homme nous a accompagnés durant tout le processus, et conseillés sur la bonne approche et les produits à mettre en œuvre.”

Cet homme, c’est le conseiller technique Wim Niesing, qui a du mal à exprimer  à quel point le projet conçu par le maître d’ouvrage de Maasmechelen est un joyau. “Le principal souci pour Jeanluc était l’étanchéité de la piscine intérieure du dernier étage. On ne pouvait pas se permettre une fuite à ce niveau. À partir des données et des photos disponibles de l’emplacement de l’immeuble, nous nous sommes mis au travail pour élaborer le conseil, ainsi qu’une explication de notre plan d’exécution. Jeanluc en était très satisfait, et nous avons obtenu l’autorisation de fournir les produits avec l’accompagnement adapté, et tous les conseils sur leur mise en œuvre.

Jeanluc a en effet tout pensé et exécuté lui-même de ce projet exceptionnel. En outre, les plans ont souvent été réalisés sur place, alors qu’il changeait soudain d’idée. Le résultat final est parfait, ce qui n’a rien de si évident car il a fallu faire face à beaucoup de situations différentes. Les saunas extérieurs sont par exemple très sensibles aux variations de température. Tout y a été découplé, pour éviter des situations très problématiques dans le carrelage.”

Certains travaux ont posé des défis spécifiques, comme par exemple le collage de la mosaïque de bois dans la cabine à infrarouges. “L’opération a été parfaitement réussie grâce à notre colle PU deux composants, mais du fait que la colle est de couleur bleu clair et qu’elle aurait donc été visible entre les pièces de la mosaïque de bois, exécutée sans joints, nous avons, après plusieurs tests, ajouté un pigment noir sans nuire à la qualité de la colle”, précise Wim Niesing.

Prouesse astronomique  

Wim Niesing achève le récit de son expérience Elaisa avec quelques détails particuliers qu’il avoue le dépasser.  “Au-dessus de la piscine, au troisième étage, une œuvre d’art en inox a été construite, en forme de dodécaèdre. L’ingénieur Marcel Franssen, beau-frère de Jeanluc, a calculé toutes les dimensions, ainsi que les angles et les découpes, et le beau-père, Hub Franssen, a fait scier les éléments avant de les assembler et les souder lui-même sur place. Tous les angles et les lignes de cette figure sont en parfait alignement avec les lignes de l’immeuble. C’est extraordinaire de voir comment cet homme a tout pensé et dessiné de manière géométrique, jusque dans les moindres détails.

Les pierres naturelles de la coupole de glace par exemple, méritent elles aussi d’être mentionnées. Elles mesurent environ 2 cm de large sur 10 à 15 cm de long, pour une épaisseur variable. Vous pouvez rattraper cette épaisseur dans votre lit de colle, mais jusqu’à une certaine limite. Ces pierres ont été recherchées et assemblées une par une. Un travail très long, qui a nécessité une attention constante à la qualité et à la finition.”

Et ceux qui s’intéressent un tant soit peu à l’astrologie et à l’astronomie savent que les Égyptiens de l’Antiquité en tenaient toujours compte. Dans leurs pyramides, ils ont construit un puits de lumière qui capturait les rayons du soleil le 21 juin, au moment du solstice d’été, pour les guider jusqu’à un endroit précis à l’intérieur de l’édifice. Vous l’avez deviné, on trouve exactement le même puits de lumière à Elaisa. “Cela signifie que vous devez, avant même de construire, savoir où arrivera votre rayon de lumière”, explique Wim Niesing. “Lorsque Jeanluc est allé prendre ses mesures, le 21 juin à midi précise, il est soudain apparu que l’angle n’était pas juste. En panique, il a tout recalculé, car une erreur aurait signifié que l’orientation de tout le bâtiment était erronée d’un mètre et demi. Pour moi, c’est une banalité, mais certainement pas pour lui ! Les nouveaux calculs effectués par Hub et Marcel Franssen ont d’ailleurs montré que cet angle spécifique de la lumière ne se produirait pas à midi précise, mais à 13h38. Et que s’est-il passé ? A 13h38, tout était exact, au millimètre près. Pour être honnête, ce sont des choses qui dépassent l’entendement…”

Apport ou rapport

Jeanluc est quant à lui bien plus modeste, même s’il a réalisé pour Elaisa un investissement de 16 millions d’euros.

“Oui, j’ai moi-même tout conçu, dessiné, construit. Et non, je ne suis pas architecte. Je n’ai tout simplement pas trouvé l’architecte qui aurait pu réaliser la géométrie que je voulais. Heureusement, durant toutes ces années, j’avais à mes côtés, en tant que stagiaire à l’époque, l’ingénieur-architecte Anna Kobiak. Elle a réalisé les plans de la partie technique, avec Hub Franssen, et les a dessinés sur l’ordinateur. Mais vous savez quoi ? L’humain n’a pas de limite, c’est nous qui nous les imposons. Beaucoup de gens n’osent pas suivre l’appel de la mission de leur âme, de peur d’échouer. Je crois quant à moi que l’homme vient sur terre pour créer quelque chose. Et soit vous laissez derrière vous quelque chose de beau, ou quelque chose de laid. La plupart des gens investissent parce qu’ils veulent s’enrichir, et pour que cela leur rapporte quelque chose. J’ai fait des investissements parce qu’essentiellement, je veux apporter quelque chose. La seule chose que vous puissiez jamais enrichir, c’est votre âme.”